ACTUALITÉS

Carte d'identité/passeport : démarches ?


 

Pour demander votre carte d'identité ou votre passeport, les délais de fabrication dépendent du lieu et de la période de la demande alors n'attendez plus, voici les démarches à effectuer :

 

Pour demander votre carte d'identité ou votre passeport, vous devez être français et vous rendre en personne à la Mairie de votre domicile (ou dans une Mairie équipée d'une station biométrique pour une demande de passeport) ou auprès de votre consulat/ambassade si vous êtes à l'étranger.

 

CARTE D'IDENTITE


- Pièces à fournir :

Vous possédez un passeport sécurisé ou récent (moins de 2 ans) Vous ne possédez pas de passeport sécurisé ou récent
Le formulaire de demande de carte nationale complété et signé (à retirer en Mairie) idem
2 photos d'identité identiques et conformes aux normes idem
Un justificatif de domicile idem
Nom de l'époux et de l'autre parent (si vous utilisez un deuxième nom) idem
Votre passeport Acte de naissance de moins de 3 mois

Un justificatif de nationalité française si votre acte de naissance ne démontre pas la nationalité française.

- Validité :10 ans.

ASTUCE : Vous pouvez consulter le téléservice de suivi de demande pour savoir si votre carte est disponible (si vous habitez en France métropolitaine, hors Paris).

 

PASSEPORT

 

- Pièces à fournir :

Vous possédez une carte d'identité sécurisée (plastifiée) Vous ne possédez pas de carte d'identité ou un ancien modèle
Formulaire cerfa n°12100*02 Formulaire cerfa n°12100*02
Timbres fiscaux de 86 € (ou 89 € pour une demande à l'étranger) idem
2 photos d'identité identiques et conformes aux normes idem
Justificatif de domicile (original et copie) idem
Carte d'identité sécurisée Acte de naissance de moins de 3 mois
Un justificatif de nationalité française si votre acte de naissance ne démontre pas la nationalité française

- Coût (en timbres fiscaux) :

- 86 euros (si vous fournissez les photos)
- 89 euros (si vous ne fournissez pas les photos et faites votre demande en Guyane, à Mayotte ou à l'étranger)


- Retrait du passeport :

Vous avez 3 mois pour retirer votre passeport, en personne, au lieu de dépôt du dossier . Passé ce délai, il sera détruit.


- Validité : 10 ans

 

POUR UN MINEUR - Carte d'identité et passeport


Il est possible de demander une carte d'identité ou un passeport pour un mineur, s'il est de nationalité française.
Les lieux de demandes sont identiques à ceux des majeurs.


- Pièces à fournir pour la carte d'identité du mineur :

Les mêmes pièces que pour un majeur + la pièce d'identité du parent qui dépose la demande.


- Pièces à fournir pour le passeport du mineur :

Les mêmes pièces que pour un majeur + la pièce d'identité du parent qui dépose la demande et un justificatif de l'exercice de l'autorité parentale si l'acte de naissance ne suffit pas à démontrer l'autorité parentale (si le mineur n'a pas de carte d'identité récente) .

- Coût de la carte d'identité : gratuit
- Coût du passeport : 17 euros (enfant de 0 à 14 ans) et 42 euros (enfant de 15 à 17 ans) - ces tarifs peuvent être majorés à l'étranger, en Guyane et à Mayotte.


- Validité : 10 ans (carte d'identité), 5 ans (passeport)

Publiée le 03/05/2013 dans Catégorie : Informations généralesInformations générales
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Le CDAD et ses partenaires présents au Forum des métiers du collège de Boigne

 

A l'invitation des élèves du collège de Boigne, le Conseil Départemental de l'Accès au Droit de la Savoie, un éducateur de la Protection Judiciaire de la Jeunesse et un avocat du Barreau de Chambéry, se sont rendus au collège de la Motte Servolex, samedi 6 avril 2013, pour présenter aux collégiens présents les métiers du droit et de la justice.

 

L'occasion pour les élèves de poser toutes les questions souhaitées à ces professionnels du droit qui ont pu présenter leurs métiers, les études pour y parvenir et les difficultés rencontrées au quotidien. Un moyen également pour les élèves de découvrir des métiers du droit qui leur étaient jusqu'alors inconnus (éducateurs de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, Greffiers, Greffiers en chef etc.)

 

Le CDAD, présent dans le cadre de ses missions en faveur de l'accès au droit et à la justice, a été un relai auprès des professions judiciaires qui ont accepté d'être présentes à l'occasion de ce forum. Il a également pu présenter les Points d'Accès au Droit Jeunes présents à la Maison de Justice et du Droit de Chambéry-le-Haut et d'Aix-les-Bains.

 

Environ 40 professions étaient représentées (métiers de la santé, du bâtiment, de la logistique etc.) pour 100 élèves présents et très impliqués dans le projet.

Publiée le 11/04/2013 dans Catégorie : Actions en faveur des jeunesActions en faveur des jeunes
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Un espace dédié aux parents d'enfants scolarisés

Parents d'enfants scolarisés ? Un espace vous est désormais dédié sur le site du Ministère de l'Education Nationale :

 

MON ENFANT A L'ECOLE

 

Sur cet espace, vous pourrez trouver de nombreuses informations sur la scolarité de vos enfants, de la maternelle jusqu'au lycée : inscription, vie scolaire, programmes d'enseignements mais aussi protection de l'enfance, scolarisation des élèves handicapés, aides financières à l'école élémentaire, au lycée etc.

Publiée le 26/03/2013 dans Catégorie : Informations généralesInformations générales
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Déposez une pré-plainte en ligne

Vous êtes victime d'une atteinte contre les biens pour laquelle vous ne connaissez pas l'identité de l'auteur ?

 

Vous pouvez, depuis n'importe quel accès internet, renseigner un formulaire de pré-plainte en ligne et obtenir un rendez-vous auprès du commissariat de police ou de la brigade de gendarmerie de votre choix pour signer votre plainte.

 

3 étapes :

1. Connectez-vous sur le site : www.pre-plainte-en-ligne.gouv.fr

2. Choisissez le lieu où vous allez signer votre déclaration dans la liste des commissariats et brigades de gendarmerie proposée,

3. Renseignez le formulaire et validez votre saisie.

 

Vous serez dès lors rapidement contacté par le commissariat de police ou la brigade de gendarmerie choisi pour convenir d'un rendez-vous. Vous serez également informé des justificatifs (factures, pièce d'identité...) dont vous devrez vous munir.

C'est à l'occasion de ce rendez-vous que vous pourrez signer, après modification éventuelle, votre plainte définitive. Elle sera alors officiellement déposée.

 

Cette pré-plainte en ligne vous est également ouverte si vous agissez en qualité de représentant légal d'une personne morale (gérant de société, syndic...) ou d'une personne physique (mineur, personne sous tutelle...)

EN CAS D'URGENCE : Composez le 17 ou le 112

Publiée le 18/03/2013 dans Catégorie : Informations généralesInformations générales
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Projection-discussion à l'Université de Savoie

L'ensemble des intervenants à la discussion, M. NOEL, Maître CALLOUD, M. DAURES, M. GAUVIN, Maître DELARUE, Maître SAUTHIER, Maître CATALDI

 

A l'occasion d'une projection-discussion, mercredi 6 mars 2013, le Conseil Départemental de l'Accès au Droit de la Savoie, en partenariat avec Univerciné, le cinéma de l'Université de Savoie, la Faculté de Droit de l'Université de Savoie et l'ordre des avocats au Barreau de Chambéry et Albertville était présent sur le campus de Jacob-Bellecombette, à l'Université de Savoie, pour une discussion sur le thème des dysfonctionnements de la justice.

 

Le film projeté était Présumé Coupable de Vincent Garenq qui raconte l'histoire d'Alain Marécaux, "l'huissier" de l'affaire d'Outreau, arrêté en 2001 ainsi que sa femme et 12 autres personnes pour des actes de pédophilie qu'ils n'ont jamais commis.

M. Jean-Wilfrid NOEL, Président du TGI de Chambéry et du CDAD de la Savoie, Maître Jean-Paul CALLOUD, Bâtonnier de l'ordre des avocats au Barreau de Chambéry

 

De nombreux professionnels du droit ont ensuite accepté de discuter avec la salle. Étaient en effet présents :
Le Président du Tribunal de Grande Instance de Chambéry, également Président du Conseil Départemental de l'Accès au Droit de la Savoie, Monsieur Jean-Wilfrid NOËL,
Un magistrat du parquet général près la Cour d'appel de Chambéry, Monsieur Étienne DAURES,
Le Bâtonnier de l'ordre des avocats au Barreau de Chambéry, Maître Jean-Paul CALLOUD,
La Bâtonnière de l'ordre des avocats au Barreau d'Albertville, maître Laure SAUTHIER,
Un universitaire, maître de conférences en droit pénal à la Faculté de Droit de Chambéry, Monsieur Fabrice GAUVIN,
Un avocat pénaliste, Maître Daniel CATALDI.

De nombreux professionnels du droit ont ensuite accepté de discuter avec le public venu en nombre. Étaient en effet présents :

- Le Président du Tribunal de Grande Instance de Chambéry, également Président du Conseil Départemental de l'Accès au Droit de la Savoie, Monsieur Jean-Wilfrid NOËL,

- Un magistrat du parquet général près la Cour d'appel de Chambéry, Monsieur Étienne DAURES,

- Le Bâtonnier de l'ordre des avocats au Barreau de Chambéry, Maître Jean-Paul CALLOUD,

- Le Bâtonnier de l'ordre des avocats au Barreau d'Albertville, Maître Laure SAUTHIER,

- Un universitaire, maître de conférences en droit pénal à la Faculté de Droit de Chambéry, Monsieur Fabrice GAUVIN,

- Un avocat pénaliste, Maître Daniel CATALDI.

 

M. Etienne DAURES, Avocat Général près la Cour d'Appel de Chambéry, M. Fabrice GAUVIN, Maître de conférences en droit pénal, Maître DELARUE, avocat au Barreau d'Amiens, Maître SAUTHIER, Bâtonnier de l'ordre des avocats au Barreau d'Albertville, Maître CATALDI, avocat au Barreau de Chambéry

 

Cette soirée se déroulait également avec la présence inédite en Savoie de Maître Hubert DELARUE, avocat au Barreau d'Amiens, ancien représentant d'Alain Marécaux.

Maître Hubert DELARUE, avocat au Barreau d'Amiens, ancien représentant de M. Marécaux.

 

Une discussion qui a visiblement beaucoup intéressé les spectateurs venus nombreux (215 personnes) assister à cette soirée.

 

Publiée le 15/03/2013 dans Catégorie : Actions en faveur de tout publicActions en faveur de tout public
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Recours contre les discriminations

 

La discrimination se définit comme le fait de favoriser ou de défavoriser quelqu'un, en raison de certaines de ses caractéristiques ou de certains de ses choix personnels.


Certaines sont légales, quand elles poursuivent un but de rééquilibrage social et que les moyens utilisés sont proportionnés et nécessaires (dispositif en faveur de la formation des jeunes, des personnes en situation de handicap)

 

D'autres sont illégales (discriminations fondées sur l'orientation sexuelle, la situation de famille de l'intéressé, la religion, l'origine géographique, l'apparence physique...)

 

Les discriminations peuvent revêtir de multiples formes :

 

  • Les discriminations directes : lorsqu'elles sont nettement visibles, affichées ou revendiquées.
  • Les discriminations indirectes : ce sont celles issues d'un comportement apparemment neutre qui favorise ou défavorise une personne ou un groupe de personnes.

 

RECOURS CONTRE LES DISCRIMINATIONS :

Il existe plusieurs façons de lutter contre les discriminations.

 

1. Le défenseur des droits (ex-halde)

 

Le défenseur des droits est chargé de lutter contre les discriminations. Il reçoit les réclamations et peut tenter un règlement du litige grâce à :

- Une médiation entre les personnes intéressées. Une procédure qui ne peut excéder 3 mois renouvelable une fois.

- Une transaction. Le défenseur des droits propose à l'auteur des faits une ou plusieurs sanctions ensuite homologuées par le procureur de la République.

- Une action en justice. Le défenseur des droits peut, notamment si l'auteur refuse la transaction, saisir le procureur de la République.


Attention : la seule saisine du défenseur des droits ne suspend et n'interrompt pas les délais de prescription des actions. Pour en savoir plus sur le défenseur des droits.

 

2. Engagement d'un procès pénal

 

Si vous êtes victime d'une discrimination, vous avez 3 ans pour agir et porter plainte. Les auteurs d'une discrimination encourent des peines pouvant aller jusqu'à 3 ans d'emprisonnement et 45 000 € d'amende. Si les auteurs de l'infraction ont agi comme agents publics ou responsables d'un lieu accueillant du public, les peines peuvent être portées à 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende.

 

Deux actions vous sont ouvertes dans le cadre de l'ouverture d'un procès pénal :

- La plainte déposée donne lieu à une procédure pénale, vous pouvez vous constituer partie civile au procès.

- La plainte déposée a été classée sans suite, vous pouvez porter plainte avec constitution de partie civile.

 

3. Demander réparation du préjudice en justice

 

En dehors de tout procès pénal, il est possible pour la victime d'obtenir réparation de son préjudice dans un délai de 5 ans. Vous pouvez dans ce cas :

- saisir une juridiction civile

- saisir une juridiction administrative si l'auteur de l'infraction agit comme agent public.

 

 

La discrimination se définit comme le fait de favoriser ou de défavoriser quelqu'un, en raison
de certaines de ses caractéristiques ou de certains de ses choix personnels.
Certaines sont légales, quand elles poursuivent un but de rééquilibrage social et que les
moyens utilisés sont proportionnés et nécessaires. (dispositif en faveur de la formation des
jeunes, des personnes en situation de handicap)
D'autres sont illégales (discriminations fondées sur l'orientation sexuelle, la situation de
famille de l'intéressé, la religion, l'origine géographique, l'apparence physique notamment...)
Les discriminations peuvent revêtir de multiples formes.
les discriminations directes : lorsqu'elles sont nettement visibles, affichées ou revendiquées.
les discriminations indirectes : Ce sont celles issues d'un comportement apparemment neutre qui
favorise ou défavorise une personne ou un groupe de personnes.
RECOURS CONTRE LES DISCRIMINATIONS :
Il existe plusieurs façons de lutter contre les discriminations.
1. Le défenseur des droits (ex-halde)
Le défenseur des droits est chargé de lutter contre les discriminations.  Il reçoit les
réclamations et peut tenter un règlement du litige grâce à :
- Une médiation entre les personnes intéressées. Une procédure qui ne peut excéder 3 mois
renouvelables une fois.
- Une transaction. Le défenseur des droits propose à l'auteur des faits une ou plusieurs
sanctions ensuite homologuées par le procureur de la République.
- Une action en justice. Le défenseur des droits peut, notamment si l'auteur refuse la
transaction, saisir le procureur de la République.
Attention : la seule saisine du défenseur des droits ne suspend et n'interrompt pas les délais
de prescription des actions.
Pour en savoir plus sur le défenseur des droits.
2. Engagement d'un procès pénal
Si vous êtes victime d'une discrimination, vous avez 3 ans pour agir et porter plainte. Les
auteurs d'une discrimination encourent des peines pouvant aller jusqu'à 3 ans d'emprisonnement
et 45 000 € d'amende. Si les auteurs de l'infraction ont agi comme agents publics ou
responsables d'un lieu accueillant du public, les peines peuvent être portées à 5 ans
d'emprisonnement et 75 000 € d'amende.
2 actions vous sont ouvertes dans le cadre de l'ouverture d'un procès pénal :
- La plainte déposée donne lieu à une procédure pénale, vous pouvez vous constituer partie
civile au procès.
- La plainte déposée a été classée sans suite, vous pouvez porter plainte avec constitution de
partie civile.
3. Demander réparation du préjudice en justice
En dehors de tout procès pénal, il est possible pour la victime d'obtenir réparation de son
préjudice dans un délai de 5 ans.
Vous pouvez dans ce cas :
- saisir une juridiction civile
- saisin une juridiction administrative si l'auteur de l'infraction agit comme agent public.

 

Publiée le 25/02/2013 dans Catégorie : Informations généralesInformations générales
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Le site du CDAD s'enrichit d'une nouvelle rubrique !

 

Après avoir réalisé une rubrique consacrée au DROIT DES JEUNES sur son site internet, le CDAD de la Savoie, en partenariat avec l'ADIL a créé une rubrique concernant le DROIT DU LOGEMENT.

Dans cette rubrique, il vous est possible de retrouver :
Les principaux textes relatifs au logement,
Les coordonnées des structures nationales et départementales,
Des formulaires pratiques,
Des fiches concernant les propriétaires, locataires, copropriétaires, voisinage, etc.,
et de nombreuses rubriques en lien avec l'accès au droit.

Dans cette rubrique, il vous est possible de retrouver :

  • Les principaux textes relatifs au logement,
  • Les coordonnées des structures nationales et départementales,
  • Des formulaires pratiques,
  • Des fiches concernant les propriétaires, locataires, copropriétaires, voisinage, etc.,
  • et de nombreuses rubriques en lien avec l'accès au droit.

Cette rubrique, régulièrement mise à jour, est consultable sur le site internet du CDAD, rubrique les liens du droit.
Publiée le 07/02/2013 dans Catégorie : Actions en faveur de tout publicActions en faveur de tout public
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Permis de conduire : Nouveautés 2013 !

 

A partir du 19 janvier 2013, tous les Etats membres de l'Union européenne harmonisent leurs catégories de permis de conduire et les règles d'obtention de celui-ci. (formation, âge d'obtention etc.)

  • Dès le 19 janvier 2013 : Les nouveaux permis de conduire délivrés entre le 19 janvier et le 15 septembre 2013 présenteront les nouvelles catégories européennes de permis. Ils prendront la forme d'un permis rose en 3 volets, comme ceux que nous connaissons actuellement. Ces nouveaux titres seront progressivement remplacés en 2014 par un nouveau modèle au format "carte de crédit".
  • En septembre 2013 : Les nouveaux permis seront délivrés dans leur nouveau format de carte de crédit. Ce nouveau permis sera valable 15 ans. Au terme de sa durée de validité, il faudra procéder à un renouvellement administratif (comme pour une carte d'identité). Aucune visite médicale ni nouvel examen de passage ne sera exigé pour le permis B. Pour les catégories lourdes et les professionnels de la route, les exigences en matière de renouvellement demeureront inchangées.
  • En 2014 : Les titres délivrés entre le 19 janvier et le mois de septembre 2013 seront remplacés par des titres au format "carte de crédit".
  • Entre 2014 et 2033 : Les titulaires d'un permis de conduire délivré avant le 19 janvier 2013, recevront un nouveau titre au format "carte de crédit".
ATTENTION : Le permis à point reste en vigueur. Chaque conducteur conserve son solde de points. Les modalités de restriction ou de retrait restent inchangés. La réglementation actuelle en matière d'infraction routière continue quant à elle de s'appliquer.

 

Publiée le 31/01/2013 dans Catégorie : Informations généralesInformations générales
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Ouverture d'une nouvelle MJD à Saint-Jean-De-Maurienne

M.Rochette, président du syndicat des pays de Maurienne, Mme Parot, vice-procureur de la République, M.Charvoz, maire de St-Jean-de-Maurienne, M.Silvan, président du tribunal de grande instance d'Albertville et M.Gaymard, député et président du conseil général de Savoie

La Maison de Justice et du Droit (MJD) de Saint-Jean-de-Maurienne a été inaugurée le vendredi 7 décembre 2012.

 

Fruit d'un partenariat étroit entre le Ministère de la Justice, les collectivités territoriales et l'ARCAVI (Association d'aide aux victimes), cette MJD nouvelle génération assurera les missions classiques d'une MJD :

- Consultations juridiques gratuites délivrées par des avocats, des Notaires, des conciliateurs, le SPIP et la Protection Judiciaire de la Jeunesse,

- Permanences d'associations dans divers domaines (logement, lutte contre les discriminations, aide aux victimes etc.)

- audiences foraines du juge des enfants,

- intervention des délégués du procureur.
Par ailleurs, cette MJD dispose d'une visio-borne permettant une mise en relation par visio-conférence avec le palais de justice d'Albertville et l'échange de documents.
Cette MJD constitue un élément indispensable pour garantir l'accès au droit dans une juridiction qui se caractérise par un vaste ressort montagneux et des difficultés d'accès à certaines parties du territoire.

- intervention des délégués du procureur de la République.

 

La particularité des MJD nouvelle génération tient enfin au fait qu'elles disposent d'une visio-borne permettant une mise en relation par visio-conférence avec le palais de justice d'Albertville et l'échange de documents.

Une structure indispensable permettant de garantir un accès au droit uniforme sur l'ensemble du territoire de la Savoie, caractérisé par un vaste ressort montagneux et certaines difficultés d'accès.


Adresse : MJD de saint-Jean-De-Maurienne - Rue de la Sous-Préfecture (ancien tribunal) -BP 92, 73 302 SAINT-JEAN-DE-MAURIENNE Cedex

Tél : 04.79.56.83.54.

Courriel : mjd.st-jean-de-maurienne@orange.fr

 

OUVERTURE AU PUBLIC :

-Mardi : 9h-12h

-Mercredi 9h-12h - 13h30-16h30

-Jeudi : 9h-12h - 13h30-17h30

-Vendredi : 13h30-17h30

 

Plus de renseignements sur les permanences de la structure.

Publiée le 22/01/2013 dans Catégorie : Action des partenaires du CDADAction des partenaires du CDAD
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Où acheter un timbre fiscal ?

 

Depuis le 1er octobre 2011, toute personne qui saisit la justice doit s'acquitter d'une contribution de 35 €.
Cette contribution concerne les juridictions civiles, commerciales, prud'homales, sociales, rurales et administratives.
Où se procurer un timbre fiscal ?
-Dans un bureau de tabac,
-Au guichet d'un centre de finances publiques, d'une trésorerie ou d'un service des impôts des entreprises.
-Au guichet de la régie de recette de la préfecture ou sous-préfecture (se renseigner préalablement)
-Par internet (s'il s'agit d'un timbre à utiliser dans le cadre de l'engagement d'une procédure devant la justice) - téléservice accessible
Si vous êtes représenté par un avocat ou un huissier de justice, il appartient à ce professionner de se charger de l'achat du timbre fiscal.
Enfin, vous pouvez toujours demander le remboursement d'un timbre fiscal suite à une erreur (par exemple de montant), en vous adressant au centre des finances publiques le plus proche de chez vous.

Depuis le 1er octobre 2011, toute personne qui saisit la justice doit s'acquitter d'une contribution de 35 €.

 

Cette contribution concerne les juridictions civiles, commerciales, prud'homales, sociales, rurales et administratives.

 

 

  • Où se procurer un timbre fiscal ?

 

-Dans un bureau de tabac,

-Au guichet d'un centre de finances publiques, d'une trésorerie ou d'un service des impôts des entreprises.

-Au guichet de la régie de recette de la préfecture ou sous-préfecture (se renseigner préalablement)

-Par internet (s'il s'agit d'un timbre à utiliser dans le cadre de l'engagement d'une procédure devant la justice) - téléservice accessible

 

Si vous êtes représenté par un avocat ou un huissier de justice, il appartient à ce professionnel de se charger de l'achat du timbre fiscal.

Enfin, vous pouvez toujours demander le remboursement d'un timbre fiscal suite à une erreur (par exemple de montant), en vous adressant au centre des finances publiques le plus proche de chez vous.

 

Publiée le 17/01/2013 dans Catégorie : Informations généralesInformations générales
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